Port de Port-des-Barques
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Vue d'ensemble de la jetée prise du sud-ouest.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Le passage aménagé sur l'estran n'est pas mentionné sur le tableau d'assemblage du plan cadastral de 1824.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime

Le passage, dit grave, joignant le lit du fleuve réalisé par la marine à la fin du 18e siècle, sur un plan levé en 1824.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime

Projet de construction d'un mur de protection de 290 mètres de long sur un plan de 1847.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime

Coupe verticale du mur de défense contre la mer construit vers 1847.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime

Construction d'une jetée à Port-des-Barques, plan et coupes en 1863.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime

Le passage aménagé, dit grave, vers le lit du fleuve sur la carte de l'état-major de 1866.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) IGN

Plan du port en 1870 : une erreur sur l'emplacement de la jetée a été corrigée.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime

Plan et profil de la jetée reconstruite en 1884.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime

Port-des-Barques depuis la fontaine de Lupin, avec le ponton du port des années 1990 derrière un carrelet.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

La jetée vue du sud.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vue de la jetée prise du sud-ouest.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Première plate-forme de la jetée vue de l'est.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Partie de la jetée bordée à l'est par des atterrissements enherbés.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

La deuxième plate-forme du côté nord.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Partie nord de la jetée vue du sud-ouest.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Partie nord de la jetée.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

L'extrémité nord de la jetée.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

La jetée vue vers la rive.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

La rive au sud-ouest de la jetée.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

La rive du côté est de la jetée.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Monument commémoratif de l'embarquement du marquis de Lafayette à bord de l'Hermione, en 1780.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

L'alignement des constructions du côté est du port.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Le rivage à l'ouest de la jetée.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

L'alignement des constructions du côté ouest du port.
Moisdon Pascale
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Extrémité ouest du mur de protection en aval de la jetée.
Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Appareillage du mur situé au sud-ouest de la jetée.
Moisdon Pascale
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Le nouveau port à l'aval de la fontaine de Lupin.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Cale de mise à l'eau et ponton du nouveau port.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

D'autres cales à l'aval de celle de mise à l'eau du nouveau port.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Titre : Port de Port-des-Barques
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Auteur de l'oeuvre : Ferry Mathieu, Guillemain Guillaume Antoine Paul, Perrier Georges François, Crahay de Franchimont
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Période : 4e quart 18e siècle, 2e quart 19e siècle, 2e moitié 19e siècle
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Localisation : Charente-Maritime , Port-des-Barques
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Vallée de la Charente
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 2019
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Auteur du dossier : Moisdon Pascale
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Historique
Devant Port-des-Barques, le lit du fleuve présente une fosse utilisée depuis le 17e siècle pour le mouillage des bâtiments de la marine. Les navires construits à Rochefort étaient en effet halés jusqu'à cette fosse, où ils mouillaient en attendant de se rendre dans la rade de l'île d'Aix pour être armés. Situé à l'embouchure de la Charente, ce port est défendu par des batteries retranchées qui croisent leurs feux avec le fort de la Pointe sur la rive opposée. Vers 1700, Claude Masse décrit ce port comme un gros village dont "les habitants sont presque tous matelots qui ont nombre de traversiers avec lesquels ils vont pescher du poisson en mer."
En 1726-1727, Le Masson du Parc dénombre « 11 bateaux pêcheurs que l’on nomme traversiers du port depuis 15 jusqu’à 30 tonneaux […] ils sont faits en forme de navires et n’ont pour faire la pêche que trois hommes ordinairement d’équipage et un garçon. Ces bâtiments qui sont très forts font la pêche toute l’année parce qu’ils résistent mieux aux tempêtes et au mauvais temps ordinaires dans ces mers » et « des plus petits bateaux pour la pêche dans la rivière qu’ils nomment des filadières du nom de leurs rets qu’ils nomment des filades et qui appartiennent ordinairement aux pêcheurs à la différence des bateaux traversiers qui ont des bourgeois propriétaires.»
La présence d'un large estran vaseux empêche le mouillage des bâtiments dans le port. Le Masson du Parc note encore que "les pêcheurs du Port des Barques se servent de leur acon pour porter à bord des traversiers les pêcheurs qui n’y pourraient aborder autrement et à en débarquer leurs poissons et leurs filets. Les bateaux traversiers étant obligés de rester toujours à la mer et mouillés dans la Charente.» L'acon, aussi appelé "pousse-pied", est une embarcation sommaire à fond plat que le pêcheur pousse d'un pied et qui glisse sur la vase. Pour faciliter la liaison entre le lit du fleuve et le port, une sorte de passage, dit grave, est aménagé par la marine, vers 1789, entre le village et la limite des plus basses mers. Ce passage est formé d'enrochements dans la vase.
Une station de pilotage pour le quartier de Rochefort est créée à Port-des-Barques, en même temps qu'à Rochefort, par une ordonnance royale du 31 août 1830. Le recours à des pilotes pour l'entrée dans la Charente se pratiquaient cependant bien avant cette ordonnance. Les pilotes de Port-des-Barques sont chargés de monter les bâtiments venant du large jusqu'à l'avant-garde du port de Rochefort, et de reconduire en mer ceux qui sont amenés à Soubise par les pilotes de Rochefort. En 1851, on compte ainsi 9 pilotes dans la population de Port-des-Barques. Le métier de près de la moitié des hommes du village est alors lié à l'activité de ce petit port commercial maritime, et l'on compte 10 marins, 6 douaniers, 5 pêcheurs, 5 mousses et 2 marchands de poissons. En 1846, il est dit que les bâtiments de la marine, mouillés en rade, s'approvisionnent de vivres frais à Port-des-Barques.
Un premier quai, de 290 mètres de long, est construit entre 1847 et 1851 pour protéger des vagues le rivage et les maisons construites en front de fleuve. En 1861, le dictionnaire universel du commerce et de la navigation mentionne que "les navires longs, qui ne veulent pas remonter [la Charente] et désirent séjourner quelque temps à l'entrée de la rivière, trouvent un très bon mouillage au lieu appelé le Port-des-Barques."
Puis, à l'amont du quai, une jetée en maçonnerie, longue de 345 mètres et large de 2 mètres, est bâtie entre 1863 et 1866 sur l'enrochement de l'ancien passage ou grave, de façon à relier le village et le fleuve à marée basse. Le projet est conçu par l'ingénieur Guillemain. Mathieu Ferry est chargé des travaux par une adjudication en date du 22 avril 1863. Cette jetée en plan incliné, "en pierre de taille, moellon piqué et maçonnerie ordinaire" se raccorde à la côte par un escalier. Elle sert de débarcadère et facilite la communication avec les navires qui stationnent dans la rade. Auparavant, toute communication entre la rade et la terre était coupée six heures à chaque marée. Cette jetée nécessite d'être nettoyée et dévasée journellement au moment de la basse mer. En 1869, l'établissement de feux directionnels en amont du port facilite et sécurise l'entrée des bateaux dans la Charente.
Dans un document de 1877, il est dit que le port peut accueillir 40 navires à la fois. L'année suivante, un autre quai de protection du rivage est élevé sur 100 mètres de long en amont de la jetée. En 1881, cette dernière, en mauvais état sur des fondations médiocres, est jugée trop étroite et insuffisante pour les nombreux embarquements et débarquements des troupes, du matériel d'artillerie et des vivres pour les forts du Peu et de l'île Madame. Elle est reconstruite et élargie par Georges Perrier, adjudicataire de ces nouveaux travaux en septembre 1884, sous la direction de l'ingénieur des ponts et chaussées Crahay de Franchimont. L'ancienne jetée est partiellement démolie et la nouvelle partie est fondée sur du béton. Large de 3 mètres, la nouvelle jetée est faite de maçonnerie de pierre de taille et de moellons, et pavée en granit. Les travaux sont terminés en mai 1885.
Dans les années 1880, des chaloupes à vapeur, qui assurent chaque jour deux services l'hiver et trois l'été entre Rochefort et la mer, s'arrêtent à Port-des-Barques. Ce port est alors le seul de la zone dont la jetée est abordable par les plus basses mers. Cette facilité d'accostage concourt à ce que Port-des-Barques devienne une cité balnéaire. En outre, les gabares, qui assurent le transport des vins, grains, silex ou pierres de taille entre les ports du fleuve et les îles de Ré et d'Oléron, La Rochelle ou les ports de Vendée, mouillent souvent au Port-des-Barques, notamment par mauvais temps.
A côté de son rôle de station de pilotage, le port est essentiellement dédié à la pêche en mer. Toutefois, à partir des années 1860, la culture des huîtres portugaises et des moules de bouchots se développe. Cette pratique occupe notamment une douzaine de femmes qui sont dites "pêcheuses" dans le recensement de 1896. Vers 1885, 44 bateaux sont rattachés au port. Sur la jetée, les usagers utilisent de petites charrettes à bras pour le transport des coquillages amenés au port par bateaux .
La jetée fait l'objet de fréquents travaux de réparation. Elle est notamment surhaussée entre 1924 et 1928 ; les travaux sont confiés par adjudication à Gabriel Gouyaud. Elle est de nouveau restaurée en 1938, puis en 1945. Jusque-là hameau de Saint-Nazaire-sur-Charente, Port-des-Barques devient une commune en 1947.
Vers 1960, la jetée est de nouveau transformée avec l'ajout d'un épais parapet sur son côté ouest entre deux plate-formes bâties du même côté pour le croisement et l'entreposage de brouettes ou de petites charrettes à bras. A partir des années 1970, d'importants atterrissements se forment du côté est de la jetée, qui se trouve désormais bordée sur une grande partie par une sorte de prairie.
Dans les années 1990, un nouveau port est créé à l'est du port historique, à environ 250 m en aval de la fontaine de Lupin. Il est doté d'une capitainerie, d'un mouillage pour les plaisanciers qui disposent d'un ponton et de corps-morts pour l'amarrage, ainsi que d'une vaste cale pour la mise à l'eau.
Détail de l'historique
Périodes |
Principale : 4e quart 18e siècle, 2e quart 19e siècle, 2e moitié 19e siècle |
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Auteurs |
Auteur :
Ferry Mathieu, entrepreneur (attribution par source) Auteur : Guillemain Guillaume Antoine Paul, ingénieur des Ponts et Chaussées (attribution par source) Auteur : Perrier Georges François, entrepreneur (attribution par source) Auteur : Crahay de Franchimont, ingénieur des Ponts et Chaussées (attribution par source) |
Description
Le port se situe à l'embouchure de la Charente, sur la rive gauche, au nord du village de Port-des-Barques. Depuis sa racine sur la berge, la jetée prenait une direction nord-sud, puis formait un léger coude en s'orientant au nord-est. La partie sud de la jetée, recouverte de sable, n'est aujourd'hui plus visible. Dans la partie médiane, le mur de protection des années 1960, en béton, domine la jetée sur une hauteur d'environ 70 centimètres, il se poursuit autour des deux plate-formes. Du côté est, les atterrissements forment une sorte de prairie au même niveau que la jetée.
Dans la partie nord, au-delà de la seconde plate-forme, la jetée est moins large, puis elle est en pente jusqu'à son extrémité. Ses cinquante derniers mètres au nord sont recouverts de vase ; des ducs d'Albe et une balise signalent sa présence.
On ne voit du mur de protection des constructions riveraines du port en aval de la jetée que la partie haute en pierre de taille de grand appareil posée à joint-vif et emboitée, formant parapet. La partie basse est masquée par un cordon d'enrochement venu consolider sa base du côté du fleuve. Il a été prolongé vers l'ouest par un mur en moellon. Le mur en amont présente les mêmes caractéristiques de construction tout en ayant une largeur moindre ; il a été prolongé par un mur encore moins épais. Des passages pratiqués dans ces murs ont été récemment dotés de dispositifs anti-submersion.
Détail de la description
Murs |
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Toits |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA17051069 |
Dossier réalisé par |
Moisdon Pascale
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Cadre d'étude |
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Aire d'étude |
Vallée de la Charente |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
2019 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel |
Citer ce contenu |
Port de Port-des-Barques, Dossier réalisé par Moisdon Pascale, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/29d58d4a-f9c8-4a41-bd76-b62a52ff4436 |
Titre courant |
Port de Port-des-Barques |
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Dénomination |
port |
Appellation |
Port-des-Barques |
Documents d'archives
AD17, 4 J art. 3440. Le Masson du Parc, François. "Pêches et pêcheurs du domaine maritime et des îles adjacentes, d'Aunis et du Poitou", mémoire, 1727-1728. Fac-similé.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 4 J art. 3440
ISBD/Commentaire :
Le Masson du Parc, François. "Pêches et pêcheurs du domaine maritime et des îles adjacentes, d'Aunis et du Poitou", mémoire, 1727-1728. Fac-similé.
AD17, 257 J 19. Journal de bord du gabarier Pitaud, 1884-1901.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 257 J 19
ISBD/Commentaire :
Journal de bord du gabarier Pitaud, 1884-1901.
Recensement de la population de Saint-Nazaire-sur-Charente, 1851.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 8 M 2/39
ISBD/Commentaire :
Recensement de la population de Saint-Nazaire-sur-Charente, 1851.
AD17, 8 M 2/80. Recensement de la population de Saint-Nazaire-sur-Charente, 1896.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 8 M 2/80
ISBD/Commentaire :
Recensement de la population de Saint-Nazaire-sur-Charente, 1896.
AD17, S 918. Ports et littoral de la Charente. Travaux maritimes. Affaires générales, 1909-1926.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : S 918
ISBD/Commentaire :
Ports et littoral de la Charente. Travaux maritimes. Affaires générales, 1909-1926.
Notice sur Port-des-Barques par Crahay de Franchimont, ingénieur des ponts et chaussées, s.d. [vers 1885].
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : S 4672
ISBD/Commentaire :
Notice sur Port-des-Barques par Crahay de Franchimont, ingénieur des ponts et chaussées, s.d. [vers 1885].
AD17, S 5400. Port-des-Barques ; projet de construction et d'élargissement de la jetée, 1882-1886.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : S 5400
ISBD/Commentaire :
Port-des-Barques ; projet de construction et d'élargissement de la jetée, 1882-1886.
Port-des-Barques ; projet de construction d'un débarcadère en maçonnerie, 1852-1863.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : S 7911
ISBD/Commentaire :
Port-des-Barques ; projet de construction d'un débarcadère en maçonnerie, 1852-1863.
AD17, S 13014. 1877, 31 décembre : état des ports maritimes de l'arrondissement de Rochefort.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : S 13014
ISBD/Commentaire :
1877, 31 décembre : état des ports maritimes de l'arrondissement de Rochefort.
1945, 20 décembre : délibération du conseil général relative à la réparation de la jetée du Port-des-Barques.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : 77 W 46
ISBD/Commentaire :
1945, 20 décembre : délibération du conseil général relative à la réparation de la jetée du Port-des-Barques.
Masse, Claude. Mémoire du pays qui est entre la rivière de Charente et la Garonne relatif à la carte générale qui a été commencée à lever en 1693 et finy en l'an 1700. Copie du 18e siècle par le père Jaillot.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
Côte : Ms 111 (Mi 40)
ISBD/Commentaire :
Masse, Claude. Mémoire du pays qui est entre la rivière de Charente et la Garonne relatif à la carte générale qui a été commencée à lever en 1693 et finy en l'an 1700. Copie du 18e siècle par le père Jaillot.
Documents figurés
AD17, S 8792. Plan général de l'embouchure de la Charente servant à faire connaître la position du Port des Barques et celle d'un mur de 290 mètres de longueur destiné à défendre contre les attaques de la mer le quai et les maisons du dit Port des Barques, visé par le sous-secrétaire d'Etat aux travaux publics le 8 janvier 1847.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente-Maritime, La Rochelle
Côte : S 8792
ISBD/Commentaire :
Plan général de l'embouchure de la Charente servant à faire connaître la position du Port des Barques et celle d'un mur de 290 mètres de longueur destiné à défendre contre les attaques de la mer le quai et les maisons du dit Port des Barques, visé par le sous-secrétaire d'Etat aux travaux publics le 8 janvier 1847.
Bibliographie
Dictionnaire universel du commerce et de la navigation, tome II, Paris : librairie de Guillaumin, 1861.
Mention : p. 1339
ISBD/Commentaire :
Dictionnaire universel du commerce et de la navigation, tome II, Paris : librairie de Guillaumin, 1861.
Duvergier, J.-B.Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements et avis du Conseil d'Etat depuis 1788, Tome 30, Paris : Chez A. Guyot, 1838.
Mention : p. 144-147
ISBD/Commentaire :
Duvergier, J.-B.Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements et avis du Conseil d'Etat depuis 1788, Tome 30, Paris : Chez A. Guyot, 1838.
Galland, G., Véron, P. Compagnie des chaloupes à vapeur de la Charente. Rochefort : bureau central de l'exploitation, 1880.
Mention : p. 9, 18
ISBD/Commentaire :
Galland, G., Véron, P. Compagnie des chaloupes à vapeur de la Charente. Rochefort : bureau central de l'exploitation, 1880.
Ministère des travaux publics. Ports maritimes de la France, T. 6 : de La Rochelle à Maubert. Paris : Imprimerie nationale, 1885.
Mention : p. 77-78
ISBD/Commentaire :
Ministère des travaux publics. Ports maritimes de la France, T. 6 : de La Rochelle à Maubert. Paris : Imprimerie nationale, 1885.
Rapports et délibérations. Conseil général de la Charente-Inférieure, session d'août 1881. La Rochelle : Mareschal et Martin, 1881.
Mention : p. 846
ISBD/Commentaire :
Rapports et délibérations. Conseil général de la Charente-Inférieure, session d'août 1881. La Rochelle : Mareschal et Martin, 1881.
Vatttier d'Ambroyse, V. Le littoral de la France ; côtes gasconnes - de La Rochelle à Hendaye. Volume 4, Paris : Sanard et Derangeon, 1892.
Mention : p. 126
ISBD/Commentaire :
Vatttier d'Ambroyse, V. Le littoral de la France ; côtes gasconnes - de La Rochelle à Hendaye. Volume 4, Paris : Sanard et Derangeon, 1892.
Annexes
Extrait du mémoire de François Le Masson du Parc "Pêches et pêcheurs du domaine maritime et des îles adjacentes, d'Aunis et du Poitou", 1727-1728. AD Charente-Maritime, 4 J 3440.
"Il y a au Port des Barques onze bateaux pescheurs que l'on nomme traversiers du port depuis quinze à trente tonneaux et plus et ils n'ont qu'une grande voile et deux petites triquettes ou voiles [...] au beaupré. Ils sont faits en forme de navire et n'ont pour faire les pesches que trois hommes ordinairent d'équipage et un garçon. Les traversiers servent a faire la pesche a la dreige de la manière que nous l'expliquerons cyaprès. Ces batiments qui sont très forts font la pesche pendant toute l'année parce qu'ils résistent mieux aux tempestes et mauvais tems ordinaires dans cette mer.
Ils ont aussy de plus petites bateaux pour la pesche dans la rivierre qu'ils nommes filadières du nom de leurs petits rets qu'ils nomment filades et qui apartiennent ordinairement aux pescheurs a la difference des bateaux traversiers qui ont des bourgeois propriétaires. Les filadiers servent a faire la pesche dans l'embouchure de la rivierre ou l'on prend des poissons qui y montent de la mer et qui frequentent indistinctement les eaux douces et salées.
Il y a des traversiers du port depuis six, sept et huit tonneaux jusqu'à vingt et plus. Les filardières sont pointues par les bouts et matées au milieu, elles servent aussy a faire la pesche du havaneau qui est le même instrument des pescheurs de la Garonne pour la pesche des esquires, chevrettes ou sautées et qui commence au mois d'avril et dure jusqu'à la fin de septembre.
Les pescheurs du Port des Barques, outre ces deux espèces de bateaux pescheurs traversiers et filadières, ont une espèce de petits canots particuliers qu'ils nomment acon, bien différent pour sa construction de ceux dont nous ferons mention cyaprès. Le plan représente un ancien écu d'armes, les costés sont formés de trois planches posées a clin, le fond ou la semelle est aussy formée de planches plates sur lesquelles il y en a trois autres, une aux deux costés et une troisième au milieu pour en renforcer le fond qui est aussy tout plat pour la faire même couler sur les vases ou l'on les pousse lorsque la mer est basse. Les bords de la Charente depuis le Port des Barques jusqu'au dessus de Tonnay Charente étant bordés de vases et de bourbes, les bateaux pescheurs n'en peuvent point aprocher.
Les acons sont aussy a la rame, l'arriere n'a point d'etambot étant coupé tout a plat et de la largeur de l'acon, il peut avoir au plus un pied de queste (?) par l'etrave. [...] Les pescheurs du Port des Barquesse servent de leurs acons pour porter a bord des traversiers les pescheurs qui n'y pourroient aborder autrement et a debarquer leur poisson et leurs filets. Les bateaux traversiers étant obligés de rester toujours a la mer et mouillés dans la Charante.
Il y a eu autrefois au Port des Barques jusqu'à vingt quarte traversiers dont les mauvais tems ont fait périr la pluspart, les malheurs des tems et la disette ont mis les habitants hors d'état d'en faire faire de nouveaux.
Il y a encore au Port des Barques un petit bateau a courtines de la même fabrique que ceux de St-Frout.
[...]
Il se fait par les pescheurs et les riverains de cette embouchure de la rivierre une pesche a pied considerable d'huitres et de moule pendant toutes les basses mers des grandes malines et surtout dans le tems de vives-eaux de marée de septembre."
Extrait d'un rapport de l'ingénieur Perrin relatif à l'utilisation de la jetée de Port-des-Barques par la marine, le 21 octobre1882. AD de la Charente-Maritime, S 5400.
"Les mouvements de la marine militaire sur la jetée du Port des Barques sont journaliers et durent, on peut dire, depuis le commencement de l'année jusqu'à la fin ; cependant, c'est surtout pendant la belle saison qu'ils prennent un développement plus considérable et ce développement tend d'année en année à s'augmenter sensiblement.
Ainsi pendant l'année courant jusqu'aujourd'hui, d'après des renseignements qu'on a tout lieu de croire exacts, ils auraient été les suivants : quatre bateaux des servitudes du port, la Baleine, la Belle-Rose, la Fauvette et le Crabe auraient mouillé neuf fois le long de la jetée dans sa partie basse pour y faire des débarquements ou des rembarquements de matériel en y séjournant plusieurs jours de suite et même pendant un mois.
D'abord pour le service du régiment d'infanterie de marine, qui est allé faire des exercices de tir dans les terrains incultes situés auprès du vieux port de la Passe aux Boeufs, débarquement en mai d'un matériel de 5000 kilos environ et rembarquement du même matériel dans le mois de juin ; en juillet, mêmes opérations, ainsi qu'en septembre.
Pour l'artillerie de marine, en juin débarquement d'un canon de 90 mm et de près de 500 obus de 16 à 24 cm, en juillet, débarquement, pendant plusieurs jours, de panneaux en charpente et de plaques de blindages, quelques chargements de camions sont allés jusqu'à 1500 kilos. Ce même matériel a été rembarqué 15 jours ou trois semaines plus tard. En août, embarquement d'un canon de près de 4 tonnes, rembarqué en septembre.
La plupart de ces transbordements sont opérés à l'aide de camion dont les roues entaillent fortement les couronnements de la jetée en pierre de taille du pays et empêchent même l'usage du débarcadère aux habitants de la localité pendant quelquefois toute une marée.
En outre, presque pendant toute l'année est mouillé en face de Port-des-Barques un bateau pour le service des bateaux torpilleurs du port, dont les embarcations viennent journellement à terre. La canonnière, qui fait le service de la rade, fait escale à chaque fois au Port des Barques, à l'aller et au retour, pour les approvisionnements de la petite garnison d'artillerie de la batterie d'école de Piédemont et de l'Ile-Madame."
Extrait du rapport du subdivisionnaire Wacogne, séance du Conseil général de la Charent-Inférieure du 12 avril 1915. AD charente-Maritime, S 918.
"La jetée submersible de Port-des-Barques est le seul point de la Charente qui soit dan cette région accessible à toute heure de marée ; elle est de ce fait très fréquentée par le marins, les pilotes et surtout les pêcheurs qui exploitent les nombreux parc à huîtres et bouchots à moules établis sur le littoral de l'embouchure de la Charente ; les huîtres, les moules et autres produits de la pêche sont débarqués sur la jetée, d'où ils sont enlevés au moyen de petites charrettes à bras à deux roues, circulant sur cette jetée."
- Bibliothèque de l'Arsenal. Ms-4562. Recueil des tournées militaires du marquis de Paulmy ; journal de ma tournée militaire dans les provinces frontières des Pirenées, dans la Guienne, la Saintonge, le pais d'Aunis, le Poitou, année 1753.
- Thierry Sauzeau, « Les petits ports, animateurs de l’économie maritime de la mer des Pertuis saintongeais (XVe-XVIIIe siècles) », Rives méditerranéennes, 2010 (consulté le 9 mars 2020).
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Le passage aménagé sur l'estran n'est pas mentionné sur le tableau d'assemblage du plan cadastral de 1824.
Auteur de l'illustration : Moisdon Pascale
Le passage, dit grave, joignant le lit du fleuve réalisé par la marine à la fin du 18e siècle, sur un plan levé en 1824.
Auteur de l'illustration : Moisdon Pascale
Projet de construction d'un mur de protection de 290 mètres de long sur un plan de 1847.
Auteur de l'illustration : Moisdon Pascale
Coupe verticale du mur de défense contre la mer construit vers 1847.
Auteur de l'illustration : Moisdon Pascale
Construction d'une jetée à Port-des-Barques, plan et coupes en 1863.
Auteur de l'illustration : Moisdon Pascale
Le passage aménagé, dit grave, vers le lit du fleuve sur la carte de l'état-major de 1866.
Auteur de l'illustration : Moisdon Pascale
Plan du port en 1870 : une erreur sur l'emplacement de la jetée a été corrigée.
Auteur de l'illustration : Moisdon Pascale
Port-des-Barques depuis la fontaine de Lupin, avec le ponton du port des années 1990 derrière un carrelet.
Auteur de l'illustration : Moisdon Pascale
Partie de la jetée bordée à l'est par des atterrissements enherbés.
Auteur de l'illustration : Moisdon Pascale
Monument commémoratif de l'embarquement du marquis de Lafayette à bord de l'Hermione, en 1780.
Auteur de l'illustration : Rome Christian
Extrémité ouest du mur de protection en aval de la jetée.
Auteur de l'illustration : Moisdon Pascale
D'autres cales à l'aval de celle de mise à l'eau du nouveau port.
Auteur de l'illustration : Rome ChristianLocalisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Charente-Maritime , Port-des-Barques
Milieu d'implantation: en village
Le passage aménagé sur l'estran n'est pas mentionné sur le tableau d'assemblage du plan cadastral de 1824.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Le passage, dit grave, joignant le lit du fleuve réalisé par la marine à la fin du 18e siècle, sur un plan levé en 1824.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Projet de construction d'un mur de protection de 290 mètres de long sur un plan de 1847.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Coupe verticale du mur de défense contre la mer construit vers 1847.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Construction d'une jetée à Port-des-Barques, plan et coupes en 1863.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Le passage aménagé, dit grave, vers le lit du fleuve sur la carte de l'état-major de 1866.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) IGN
Plan du port en 1870 : une erreur sur l'emplacement de la jetée a été corrigée.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Plan et profil de la jetée reconstruite en 1884.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Port-des-Barques depuis la fontaine de Lupin, avec le ponton du port des années 1990 derrière un carrelet.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La jetée vue du sud.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la jetée prise du sud-ouest.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Première plate-forme de la jetée vue de l'est.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Partie de la jetée bordée à l'est par des atterrissements enherbés.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La deuxième plate-forme du côté nord.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Partie nord de la jetée vue du sud-ouest.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Partie nord de la jetée.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'extrémité nord de la jetée.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La jetée vue vers la rive.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La rive au sud-ouest de la jetée.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La rive du côté est de la jetée.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Monument commémoratif de l'embarquement du marquis de Lafayette à bord de l'Hermione, en 1780.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'alignement des constructions du côté est du port.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le rivage à l'ouest de la jetée.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'alignement des constructions du côté ouest du port.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Extrémité ouest du mur de protection en aval de la jetée.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Appareillage du mur situé au sud-ouest de la jetée.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le nouveau port à l'aval de la fontaine de Lupin.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Cale de mise à l'eau et ponton du nouveau port.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
D'autres cales à l'aval de celle de mise à l'eau du nouveau port.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Bassins et cabanes d'ostréiculteurs à côté du nouveau port.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La cale de mise à l'eau du nouveau port au premier plan et l'embouchure de la Charente.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue d'ensemble de la jetée prise du sud-ouest.

Moisdon Pascale
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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